Aime Simone

Artiste sur scène tenant un micro, éclairé par une lumière blanche avec de la fumée derrière lui.

Vanessa Lhrx: Chronique & photos Concert du 4 Décembre 2025 à la Condition Publique Par un soir rouge intense et noir avec le célèbre symbole du nouvel album REV, une communion rare a embrasé Roubaix pour notre baptême de feu avec AIME SIMONE EN LIVE !  La Condition Publique vibrait déjà d’impatience lorsque les lumières se sont éteintes à 21h.  Un silence dense, comme un souffle retenu, précédant l’apparition d’Aime Simone et de Sonja.  Puis le premier battement, le premier halo rouge sang, et la soirée a basculé dans quelque chose de profondément vivant : une cérémonie mêlant ombres et lumière.  Une communion immédiate est née dès les premières minutes du show, quelque chose d’invisible s’est tissé entre la scène et le public. Une connexion rare quasi organique.  Aime Simone, complètement habité, mouvant, pulsant, semblait sentir chaque respiration de la salle et ça ce n’est pas le fait de tous les artistes. Sonja, à ses côtés, n’était pas seulement un soutien : je la perçois comme son double lumineux, bien plus qu’une muse elle est une présence douce mais puissante à la fois. Sa voix, ses gestes précis, son énergie presque chamanique apportaient à tout l’ensemble du concert une profondeur supplémentaire.  Mais Aime et Sonja forment un duo magnétique et une polarité parfaite de ce que l’on peut ressentir en les voyant sur scène !  Un contraste de couleurs On poursuit toujours avec ce noir profond et ce rouge sang dans un univers visuel saisissant qui me fait pensait à des artistes comme Enki Bilal ou HR Giger par exemple. Le concert s’est donc déployé dans une esthétique très marquée.  Derrière eux, un écran géant projetait des animations tantôt brutales, tantôt d’une beauté céleste. L’une d’elles a suspendu le temps et m’a prise au cœur: deux anges se rejoignant lentement, des silhouettes métalliques argentées au milieu du chaos.  Une vision simple, mais chargée d’un symbolisme évident : Aime et Sonja, réunis dans la pure création, dans la scène, dans la fragilité partagée mais aussi dans la douleur et la force. Le concert se termine Ces tableaux visuels faisaient du show non seulement un concert, mais aussi une expérience sensible, presque cinématographique. Ce set était on peut dire assez protéiforme : du chaos électro à la douceur suspendue et comme l’a dit Aime entre les morceaux, “REV” est un album ‘expérimental’ où il a testé tous les sons et des nouveaux genres de voix par exemple ce qui a été un processus important pour lui.  Setlist rapide- Bilan ‘ Taking My Distance ‘ : une ouverture nerveuse, presque fébrile et assez sombre. ‘ Fast City ‘, ‘Boom Boom ‘, ‘ Gore Mode ‘ : des pulsations électro et dansantes, ces moments où la salle entière s’est mise en mouvement. ‘ Black & White ‘, ‘ Not What You Wanted ‘ ,  ‘ Let Me Down ‘ , ‘ The Rise ‘, ‘ In My Blood ‘ (*que j’aime beaucoup) et son remix GDA: plus sombres, plus viscéraux. ‘ Lalala ‘ (* avec tout le public qui danse et chante), ‘ Devil Done ‘ , ‘ In This Dark Time ‘ : entre tension et libération. Et bien sûr ‘ Shining Light ‘ : hymne unificateur repris par toute la salle ! Un titre qui m’avait happé dès la toute 1ère écoute à sa sortie.  Mais un morceau a tout emporté : ‘ Don’t You Forget Who You Are ‘ : La grâce incarnée ce morceau. Dans un bain de fumée blanche contrastant avec les rouges sang et les noirs opaques du reste du show, Aime a déposé une émotion brute, presque nue. C’était vraiment un moment suspendu, fragile, où le public retenait son souffle. J’ai ressenti ça comme un genre d’appel : ” MAINTENANT N’OUBLIES PAS…N’OUBLIES PAS QUI TU ES …”  La salle semblait respirer à l’unisson, émue avec Aime pour qui ce morceau était particulièrement important. ‘ Hallelujah ‘ : a aussi été un instant hors du monde cette reprise (façon Jeff Buckley) à la guitare a été un autre sommet aussi. Une reprise douce, dépouillée et lumineuse, magique. Aime Simone a laissé la vulnérabilité prendre toute la place, et le temps s’est arrêté. Plus personne ne bougeait. On aurait pu entendre le battement d’aile d’un ange, peut-être l’un de ceux vus sur l’écran quelques instants plus tôt…. Et n’oublions pas le sublime morceau ‘ Werewolf ‘ avec le grand Peter Doherty (*que nous aimons beaucoup au passage). Il n’était pas présent mais ça fait plaisir tout de même d’entendre sa voix et ce duo étonnant.    La fin du show était dansante, solaire, généreuse comme sait l’être Aime Simone avec son public et ses fans.  Malgré les thèmes sombres et l’esthétique parfois quasi gothique, la soirée s’est révélée globalement joyeuse. Aime, souriant, proche, ultra dynamique, a fait danser et chanter le public à de nombreuses reprises. Les personnes autour riaient, sautaient, chantaient dans une jolie cohésion humaine.    Sincèrement en quittant la salle, on avait la sensation d’avoir assisté à plus qu’un simple concert mais à un rituel moderne, un voyage intérieur tout vêtu de rouge et de noir, guidé par deux êtres en mouvement constant, unis dans la création, la douleur et l’amour pur avec une pointe de lumière intense.  Et n’oublions pas la première partie! Le concert avait très bien commencé avec le groupe Nous étions une armée! Une belle découverte pour un groupe talentueux et engagé aux textes accrocheurs dont on entendra certainement parler.

Angus et Julia Stone

angus_juliaStone

Théâtre Sébastopol Lille 22.05.2024 Le grand retour de la Folk Australienne A peine une semaine après la sortie de leur nouvel album, « Cape Forestier », un voyage folk qui nous emmène sur les côtes Australiennes, le duo de frère et sœur Angus et Julia Stone a choisi Lille pour reprendre sa tournée Française, à guichets fermés dans l’intimité du Théâtre Sébastopol. Julia y était même il y a quelques mois pour accompagner Pomme… Le concert a commencé par le guitare – voix de Dinaa, qui a su nous envoûter par son timbre et son storytelling. Puis, avec toute la douceur qu’on leur connait, arrive le duo tant attendu. S’ils commencent à deux sur leur grand classique « Santa Monica Dream », le rideau se lève ensuite sur un magnifique décor évoquant un coin cosy révélant tout le groupe, avec de superbes luminions pour illuminer « Losing you », un des singles du nouvel album. Balades intemporelles Les titres s’enchaînent sans temps mort avec une solide orchestration et un duo qui exprime sa joie d’être ici, avec même quelques touches de Français. La setlist est très variée au vu de la désormais longue discographie du groupe, que ça soit entre les classiques « Just a Boy » d’Angus, mais la surprenante reprise de « Flowers » de Miley Cyrus, et bien évidemment finir sur leur tube qui les a fait connaître « Big Jet Plane ». La qualité des voix et des performances des musiciens est indéniable et l’endroit théâtral s’y prête admirablement. L’ensemble du groupe revient a cappella pour une reprise de Neil Young pour une dernière parenthèse enchantée qui laisse le public sur un nuage à rêver du Cap Forestier… Justine

Arcade Fire – Funeral

Funeral de Arcade Fire, groupe de rock

Un Tourbillon d’Émotions: “Funeral” par Arcade Fire Une véritable bombe atomique cet album ! Un rock unique et profondément harmonique, atmosphérique avec des émotions et des sentiments puissants tout autant que graciles, d’une élégance grandiloquente et spacieuse. L’Éclat des Quartiers : Une Histoire en “Neighborhoods” Un petit clin d’œil aux 4 ‘Neighborhood’, 4 morceaux portant le même titre, très différents au premier abord, mais tous liés par une certaine historique au final ‘Neighborhood 1’ (Tunnels) est une suite de petits sons de pianos légers comme des bulles de savons volatiles et multicolores, qui se rythme petit à petit de divers instruments plus ou moins connus, pour exploser enfin délicieusement et nous enivrer jusqu’au bout. La Voix Énigmatique de Win Butler  A noter la voix de Win Butler  très spéciale et intrigante, qui donne à tous les textes une grandeur incroyable, une voix fort mélancolique, dramatique et pourtant positive en même temps. Chaque chanson de ‘The Arcade Fire’ semble irréellement parfaites et démesurément belles, comme ‘Une Année Sans Lumière’ ou ‘Crown Of Love’ qui a une fin étonnante comme une œuvre de Mozart ! Éveil et Révolte: “Wake Up !” ’Wake Up !’ est comme un cœur d’anges coincés derrières les vitres du Monde, un chant particulier de paix, d’amour, de tristesse, l’impression qu’il donne est qu’il pourrait être jouer pour rassembler les peuples, en un seule âme, un seul cœur. C’est hyper troublant et émouvant, sur fond de guitares électriques, de particules de synthés sombres et possessives. Coup de cœur pour ‘Neighborhood 3’ (Power Out) qui est très original, avec des petits rythmes de samba exotiques, sur voile de xylophone très entraînant et furieusement enflammé. Un sacré bon morceau ! ‘Neighborhood 2’ (Laika) nous imagine des Pixies 2005, avec un instrument inédit, de l’accordéon, qui passe bien , se mêlant parfaitement avec guitare , basse , batterie et donne un relief surprenant à l’ensemble de cette compo fantastique, qui se ponctue aussi d’aspirations un peu japanisantes.    Exploration de Sons et de Styles ’Rebellion’ est un peu plus électro au début que le reste de l’album, plein de synthés apaisants, de violons féeriques, de batterie par petites touches, d’une basse nappée et toujours la voix extraordinaire de Win Butler et des filles, qui enveloppent le tout avec beaucoup de charme et de subtilité. Un Véritable Feu d’Artifice Musical ’In The Back Seat’ fait penser à une Björk, mais à leur sauce évidemment, hyper sensuel, triste et déroutant. Ces êtres viennent peut-être d’un autre temps, d’un autre monde et ils révolutionnent le Rock !! Un vrai feu d’artifice de couleurs et de cohérence musicale, rare. Un vrai voyage au cœur d’une musique différente, qui se révèle au fil de l’écoute, qui brille par son authentique unicité. A ACHETEZ D’URGENCE !!!   Vanessa

Axel Deval

axel deval

Chronique ‘Quartiers fantômes’ Parfois, nous recevons sur LaCompagnieArtistique des projets de nouveaux artistes pour en parler sur le webzine et ce fut le cas avec Axel Deval. Un rapide coup d’œil sur la bio pour remarquer quelques références…. ‘Sur les traces de Nick Cave et Étienne Daho, il conte l’ambivalence des relations humaines autant que la solitude contemporaine, dans des décors urbains ou sauvages qu’il explore en long et en large ‘ Ces références nous interpellent et nous intéressent alors, notre curiosité nous pousse à écouter le single déjà dispo sur les plates formes : ‘l’Anthopocène’ Un clip magnifique, un univers féerique qui nous entraîne dans une chanson qui rassemble avec des cœurs d’enfants. Cela peut nous rappeler ‘objectif Terre’ de Ridan pour les textes écolos et ce côté très rassembleur et intéressant qui nous incite à nous questionner sur notre propre comportement sur notre Terre. On se dit alors qu’il est temps d’écouter l’album d’AXEL Duval qui sera dispo dès le 18 octobre et qui s’appelle ‘Quartiers fantômes’. Quartiers Fantomes d’Axel Duval Un dix titres avec des univers variés . C’est un peu comme si Axel nous racontait ses souvenirs et qu’il les mettait sur un album sans ordre précis mais en fait le lien vient à coup sûr des textes toujours très poétiques chantés dans une voix claire ou susurrée ( Panique sur l’occident) et qui nous amènent petit à petit dans l’univers de l’artiste. Les thèmes abordés sont souvent liés à l’amour, la planète, sur des rythmes tantôt pop ou électro ( Demain notre amour) Un titre comme ‘La raison l’emporte’ peut nous rappeler le Bal des Lazes de Polnareff sous des sons plus électro. Nos morceaux phares : L’anthopocène, Antihéros avec deux parties bien distinctes et Demain notre amour. Un album qui s’écoute d’un trait, des mélodies qui nous bercent et de très jolis textes pour cette découverte. Un conseil : allez jeter une oreille sur les ‘quartiers fantomes’. Vous y passerez à coup sûr un joli moment ! Tof Crédit photos: Damien Dollé/ Stéphanie Vaillant La setlist: 01 Demain notre amour 02 En te suivant 03 Panique sur l’Occident 04 Tes zones d’ombre 05 Rue des Thermopyles 06 La Raison l’emporte 07 Océane 08 L’Anthropocène 09 Antihéros 10 Sonne à la porte

Babet

Pochette de l'album de Babet

Quand on pense à Babet, pour les plus chanceux qui ont eu la chance de la suivre en live depuis plus de 10 ans on pense immédiatement à une violoniste-chanteuse sautillante et souriante qui nous fait vibrer avec Dionysos. Son premier album solo « Drôle d’oiseau » sorti en 2007 nous avait confirmé que le talent était décidément bien présent, d’où une attente impatiente de la suite de cette infidélité bien agréable.

Belinda Davids

Queen for a night in Longuenesse On connaissait la richesse du sous-sol Sud-Africain: cuivre, or, diamants…mais une autre pépite beaucoup plus accessible (envers son public) a émergé de son sol en la personne de Miss Belinda Davids. La Diva a illuminé le ciel du Sceneo à Longuenesse par sa présence, son énergie et surtout sa voix unique…elle a enchaîné avec grâce et ce 2h durant une vingtaine de tubes lors de son show a Tribute to Whitney Houston/ The greatest love of all couvrant la carrière de la regrettée Whitney de ses débuts en 1985 jusqu’à sa tragique disparition en 2012… On ferme les yeux et Whitney Houston est là par magie Ses duos emblématiques avec George Michael ou Mariah Carey, son hymne lors des jeux de Séoul en 1988, son 1er album jusqu’à l’inoubliable bande son du film Bodyguard …. Tous les ingrédients étaient réunis pour un show mémorable.  Vous aviez juste à fermer les yeux quelques instants (mais pas trop longtemps) et la grande Whitney était là à nouveau devant vous. Ce dimanche 9 novembre, la LCA y était et le moins que l’on puisse dire c’est que miss Belinda Davids nous a laissé sans voix…enfin il nous en restait un peu pour entonner à ses côtés les hits d’anthologie et danser ! Remerciements Une mention particulière pour les musiciens multi instrumentistes et les choristes émérites « proudly made in South Africa » eux aussi qui sont l’écrin de la Diva. Mention particulière encore pour la proximité de l’artiste qui a pris la peine tout en interprétant « saving all my love for you » de descendre de la scène pour aller à la rencontre de son public enchanté, parcourant chaque gradin du Sceneo de bas en haut puis de haut en bas, de gauche à droite, sans n’oublier personne, distribuant son amour à qui le veut… Miss Belinda Davids a su conquérir les cœurs et captiver les regards du public français présent ce soir-là, nous resterons à l’affût à la LCA de vos prochaines productions. Pour terminer je puis dire « The Queen is Dead ,long live Queen Belinda Davids!* » *La Reine est morte,vive la Reine Belinda Davids. Francis Berthe ,Luc Agache Photos Richard Walter Setlist Longuenesse 1-Run to you 2-Didn’t we almost have it all 3-If i told you that 4-When you believe 5-Where do broken hearts go 6- Its not right but its ok 7- Im your baby tonight 8-You give good love 9-How will i know 10-The greatest love of all 11-Im every woman 12-My love is your love 13-One moment in Time 14-Million Dollar Bill 15-I will always love you 16-Saving all my love for you 17-So emotional 18-I wanna dance with somebody 19-I have nothing

Dali

Dali à Lille

Dali était au Splendid le 5 Mars 2025, découvrez ce moment à travers les yeux de Valentine. Merci La Compagnie Artistique pour l’expérience.

Dani

Couverture d'album "Le paris de Dani" par Dani

Chronique nouvel album de Dani « Le Paris de Dani » Le tout nouvel album de Dani est vraiment un concept original. En effet, il nous propose un album de 11 titres sur la ville de Paris. Un voyage au cœur de la capitale pour notre plus grand plaisir. Les parisiens seront ravis, les autres tout autant car ce sont de jolies balades qu’il nous offre, entre douceur des mélodies, et des son plus rock. Un pari risqué de réaliser un album autour d’une thématique, mais un pari réussi ! On accroche en se laissant bercer par cette voix à la fois douce et rocailleuse. Des jeux sonores, des rimes, des doubles sens…bravo à lui pour cette belle surprise de cette rentrée 2010 ! Site de l’artiste Valérie

Dasha

Du Texas à Arras Originaire de Californie et d’ascendance tchèque, Dasha découvre la scène dès l’âge de 5 ans en jouant dans des comédies musicales. Très tôt formée à plusieurs instruments, elle compose et chante avec une aisance naturelle. Après un premier EP en 2021, elle sort deux albums et s’impose peu à peu comme une voix montante de la pop américaine.C’est avec son single “Austin” qu’elle explose : une incursion dans la country moderne, 14 disques de platine et une notoriété virale. En 2025, l’Europe l’accueille à bras ouverts et le Main Square Festival lui ouvre la Main Stage. Dasha, le souffle country-pop du Main Square Dasha sera sur la Main Stage le vendredi 4 juillet 2025, de 16h50 à 17h50.Un concert très attendu, entre énergie pop californienne et accents country assumés.Avec sa fraîcheur, sa voix parfaitement maîtrisée et son aura de nouvelle star mondiale, Dasha vient incarner une pop en mutation, libre, sensible et résolument internationale. Un moment de show solaire et contagieux, entre refrains tubesques et guitare vintage. Une étoile montante à suivre de près avec les interviews, images et instants backstage à découvrir avec la compagnie artistique. Photos Vanessa Lhrx

David Kushner

David Kushner Photo Vanessa Lhrx

La voix d’une génération connectée Originaire de Chicago, David Kushner est l’un de ces artistes révélés par les réseaux sociaux, où sa voix grave et ses textes introspectifs ont trouvé un écho mondial.Le single Miserable Man, devenu viral sur TikTok, lui ouvre les portes d’une carrière fulgurante, portée par une esthétique sombre et spirituelle.Avec son premier album The Dichotomy, l’auteur-compositeur creuse le sillon d’une pop moderne et émotionnelle, marquée par sa foi et ses convictions profondes.Figure de proue d’une génération de songwriters digitaux, David Kushner apporte une sincérité rare et une intensité mélodique à la scène pop actuelle. De TikTok à Arras, le parcours d’un artiste introspectif Samedi 5 juillet, de 17h20 à 18h20, David Kushner investira la Main Stage du Main Square Festival pour un live attendu, entre tension émotionnelle et puissance intérieure.Accompagné d’une fanbase fidèle née sur TikTok et Instagram, le jeune Américain est prêt à prouver que son art ne se résume pas aux écrans.Avec The Dichotomy, son premier album, il explore les contrastes de l’âme, entre lumière et obscurité, spiritualité et douleur.Sur scène, David Kushner s’annonce comme un messager fragile et magnétique, à l’aise entre balades intimes et envolées cathartiques. Photos Vanessa Lhrx