Hamada

Hamada : l’écho d’un monde sans frontières Né en 2022 à Lille, Hamada est un groupe à six têtes et mille influences. Leur musique mêle rock psychédélique, folk oriental, et une énergie à la fois dansante et introspective. Porté par deux voix complémentaires et des textes multilingues, Hamada séduit par sa sincérité et ses performances hypnotiques. Représentant de la scène alternative des Hauts-de-France, leur présence au Main Square Festival 2025 sur la scène Bastion est une invitation à voyager. Un bastion pour les voyageurs sonores Le groupe lillois Hamada se produira sur la scène Bastion le vendredi 4 juillet 2025, de 16h00 à 16h30. Avec ses sonorités mêlant rock psychédélique, folk oriental et énergie introspective, Hamada offrira un moment à part, loin des formats classiques. Une demi-heure hors du temps, portée par la sincérité de ses textes multilingues et l’alchimie de ses six musiciens. Un set court mais intense, fidèle à l’esprit du Bastion, pour bien lancer la journée ! Un groupe à ne pas manquer grâce aux interviews et photos réaliséspar la compagnie artistique ! Interviews exclusives et photos (Vanessa Lhrx) Quand vous avez appris la nouvelle, ça vous a fait quoi? Quelle a été votre première réaction ? On a été surpris, heureux, excités. Toutes les émotions. Très content quand même.Stressé. Stressé. Et plus excité que stressé. Et après avoir fait votre premier concert, du coup, c’est vous qui avez ouvert la scène. Votre réaction ? C’était trop chouette. Le public était top. Plus de monde que prévu. Non, pas que prévu, que ce qu’on imaginait.Toujours, les gens arrivent après, ça n’est pas toujours évident. L’ouverture, c’est souvent compliqué. Là, tout le monde était là. Les gens étaient au rendez-vous. Et que ce soit nos familles qui nous attendaient ou nos amis. C’est vrai que nos amis nous supportent. Nos collègues. Ils viennent tous au concert à chaque fois, donc c’est cool de les voir. Et il y a beaucoup d’influence dans ce que vous faites. j’ai vu que pour vous, les morceaux se font dans différentes langues et vous êtes 6 dans le groupe. Ça doit être galère pour composer des morceaux, non ? Non, ça va. On respecte, je pense, l’espace de chacun, l’espace de création. Et le fait qu’on écrive en plusieurs langues, ça vient du fait qu’on écoute aussi, je pense beaucoup de musiques différentes de partout. Que ce soit américain, avec le rock ou la folk, français ou espagnol. Vous écrivez aussi suivant vos voyages? Oui, c’est ça. C’est des inspirations qui viennent des voyages, de nos vies respectives, finalement. Et on a cette richesse qu’on souhaite quand même apporter de notre musique. Et qu’on a surtout réussi à compiler, à unifier. Et proposer, du coup, du projet artistique qui n’est pas si incohérent que ça ! C’est le soleil. Et du coup, on arrive finalement à proposer quelque chose qui fonctionne.Malgré le fait qu’on soit six, qu’on soit tous d’univers musicaux différents, qu’on aime parler des langues différentes, etc. Et finalement, c’est ce qui fait la force de notre projet, je pense. Et de manière extérieure, ensuite, quand vous écoutez les morceaux que vous avez chacun, vous reconnaissez le style de chacun. Vous vous dîtes, ça c’était telle personne, c’était son idée. Le premier EP, Perception, qu’on a sorti en 2024, finalement c’est un patchwork, un peu, dans nos différentes méthodes, nos différentes inspirations. Et on s’est dit, ah en fait ça marche ! Ok, c’est cool. Du coup, on a continué. Aujourd’hui, on est au Main Square Festival.C’est cool. Après, je pense que grâce aussi aux Inouïs, aux concerts des Inouïs du printemps de Bourges en janvier, qu’on a faites à l’Aéronef, qui nous ont aussi ouvert de très belles choses. Il y a des choses qui seront annoncées bientôt.Et on est très fiers, je pense qu’on peut être très fiers de notre cheminement. Et en toute franchise, on ne s’y attendait pas.Ce n’était pas calculé. Après, ce que vous faites au niveau du son, dans la région, il n’y a pas beaucoup de groupes comme vous… Pas beaucoup de concurrence, c’est vrai. C’est sûr. Après, on est une région qui est quand même riche en projets musicaux et en rock psychédélique. Précisément, il y a eu beaucoup de projets assez influents qui ont très bien marché.Après, nous, on est vraiment dans le rock à Lille. On a eu des projets différents. On a connu beaucoup de projets.La période des groupes de rock psyché à Lille est en déclin, il y a eu une période où il y avait pas mal de projets sur la région. C’est un peu triste.Il y a Hamada qui sort de là et qui reste. C’est comme un phare. Et même après, vos morceaux, tout à l’heure sur scène, j’ai vu, vous prenez le temps de les installer…Ça fait un peu penser à des B.O. de films. Si, si, carrément. Il y a des références complètement filmiques, cinématographiques, des Western Spaghetti.Quand on parle de voyage, d’imitation à voyager, c’est aussi particulier. Un voyage, ce n’est pas une note égale sur l’ensemble du trajet. Finalement, c’est aussi des hauts, des bas, c’est des variations, c’est des moments de stagnation, c’est des moments d’action. Ces changements de trajectoire et de rythme, c’est ce qui définit aussi notre musique. Et là, vous avez joué dans des salles. Là, vous faites un festival, vous prévoyez ça différemment, ou pour vous, c’est pareil ? Non, après, on est assez flexibles. On a des sets qui varient en fonction du public, de l’accueil.Mais on a une variété de publics et de lieux d’accueil et de scènes qui est assez variée, je veux dire. C’est important. Et on est capable de jouer 30 minutes là, sur un bastion où il faut que ça joue, il faut que ça joue vite, il faut enchaîner, parce que c’est un festival. Le festival, c’est timé, souvent. Donc, c’est vrai que c’est un petit peu particulier, c’est plus particulier de se planter sur un festival,
The Backseat lovers

Bio rapide The Backseat lovers est un quatuor américain de rock indépendant qui vient de l’Utah et plus précisément de Salt Lake City. Leurs textes les font connaître par leur contenu riche émotionnellement et leurs performances scéniques dynamiques. Leur récente tournée en Angleterre après une pause de deux ans marquait un retour qui s’est fait dans des sales intimes qui sonnaient comme des concerts très émotionnelles au vu des textes du groupe. Connus pour mêler l’énergie du surf-rock à une introspection poétique, leurs concerts passent souvent de l’euphorie des pogos à des chants pouvant amener des larmes. Photos Vanessa Lhrx
Sam Sauvage

Sam Sauvage, la voix des âmes égarées Originaire de Boulogne-sur-Mer, Sam Sauvage trace un sillon musical singulier, entre chanson française, électro, pop et rock, porté par une voix grave et magnétique. Autodidacte, il découvre sa vocation à l’adolescence, ébloui par un live de Bob Dylan aperçu sur YouTube. Ce choc déclenche chez lui une écriture à la fois brute et sensible, tissée de mélodies fluides et d’une observation fine du monde. Dans ses textes, il célèbre les marginaux, les rêveurs perdus, les noctambules et tous ceux qui vivent en marge, en silence, et dont il devient la voix. Sam Sauvage, c’est une présence à part : un musicien confident, viscéral, capable de captiver par sa sincérité désarmante. La voix grave du Bastion Dimanche 6 juillet, de 18h10 à 18h50, Sam Sauvage viendra hanter le Bastion du Main Square Festival avec ses chansons pleines d’ombres et d’éclats. Auteur-compositeur solitaire mais jamais isolé, il rassemble dans son univers les rêveurs éveillés, les errants du quotidien et les insoumis doux, ceux qu’on n’écoute pas assez. Son passage promet un moment suspendu, à la fois intime et fédérateur, entre guitares tendues et textes caressants. Un set où la marge devient lumière. Une voix rare à ne pas manquer, la compagnie artistique vous invite à rencontrer Sam Sauvage, en sons et en regards. . Retour et photos Sam sauvage joue ce dimanche et la scène des Bastions est blindée de monde. Il faut dire que son dernier passage à Taratata a éveillé les curiosités et le morceau ‘les gens qui dansent’ a plutôt bien tourné. Sur scène, le groupe a l’air d’ailleurs surpris de cet engouement et très heureux d’être la. Pendant tout le set, ils parviendront par leurs sons à transmettre cette frénésie et après ça on na qu’une seule envie: les revoir très vite ! Photos Vanessa LHXR Setlist Main Square: On est là Les gens qui dansent Le chant des sirènes Roi du silence Les âmes sensibles Jsuis pas bo Ali roule de nuit Pas bourré Un cri dans le métro La fin du monde
Julien Doré

Poésie pop et second degré assumé Avec ses six albums, ses tubes entêtants et ses pirouettes artistiques, Julien Doré s’est imposé comme un ovni de la scène musicale française. Entre autodérision, sensibilité désarmante et élégance bohème, il cultive un univers aussi singulier qu’attachant. Toujours à contre-courant, il alterne succès populaires et projets décalés, de ses chansons déjantées à ses rôles sur petit écran. En 2025, c’est au Main Square Festival qu’il viendra faire vibrer la Citadelle d’Arras. Un retour très attendu pour un artiste capable de faire rire, pleurer et danser… le tout dans le même morceau. Julien Doré, entre rires et refrains Samedi 5 juillet, de 21h20 à 22h50, Julien Doré s’est emparé de la Main Stage du Main Square Festival pour un concert tout en nuances. Avec ses tubes irrésistibles, son autodérision bienveillante et sa voix singulière, l’artiste offre un moment suspendu entre second degré et vraie émotion. Son passage à Arras promet un spectacle généreux, rythmé et inattendu — à son image. Faussement léger mais profondément touchant, Julien Doré transformera la Citadelle en un théâtre pop où l’on chante, rit, et parfois, on frissonne. Un enchanteur moderne en escale à Arras, une rencontre précieuse à vivre et à revivre avec la compagnie artistique. Retour et photos Nous n’avions pas encore eu l’occasion de voir Julien en concert et quelle très agréable surprise! Des son entrée sur scène. On ressent un petit truc en plus, le truc qui donne la chair de poule et ce sentiment de bien être, et d’apaisement. Ici, ça sera un réel échange d’amour et de bonnes ondes. Une setlist nickel, un échange interactif avec le public. Julien Doré semble même surpris par cette foule devant lui car oui c’est certainement le concert du festival où la foule se sera le plus déplacé. Et puis des découvertes avec des morceaux qui prennent tout leur sens en live ( sublime et silence) À voir et à revoir sans hésitation! Photos Jérôme Pouille/ Vanessa Lhrx Setlist Main Square: Le lac La Fièvre Les limites Liss Me Forever Coco Câline Chou Wasabi Femme Like U Sublime & silence Porto Vecchio Nous Les démons de minuit Paris-Seychelles Pourvu qu’elles soient douces Ah les crocodiles
Alessi Rose

Alessi Rose, phénomène générationnel Venue tout droit des East Midlands, Alessi Rose incarne cette nouvelle vague d’artistes autodidactes qui bousculent la pop. Bercée par la country paternelle et la new wave maternelle, elle forge un son hybride, à la fois nostalgique et résolument moderne. À seulement 21 ans, elle s’impose avec des vidéos autoproduites, sans label ni album. Repérée grâce à TikTok, puis propulsée par un premier EP à succès, elle rassemble autour d’elle une communauté fidèle et engagée : les Delulu girlies.Avec son sens du refrain et sa sincérité assumée, Alessi Rose est déjà une figure incontournable d’une pop générationnelle, sensible et affirmée. L’univers Delulu débarque au Main Square Samedi 5 juillet, de 16h35 à 17h20, Alessi Rose fera vibrer la Green Room du Main Square Festival avec sa pop ultra-connectée et authentique. Avec sa voix franche, ses textes générationnels et sa fanbase déjà massive, la jeune anglaise promet un moment à la fois intime et galvanisant.Son univers touchant et son énergie sur scène en font l’une des étoiles montantes les plus attendues de cette édition 2025. Un éclat pop générationnel à ne pas rater avec la compagnie artistique qui vous dévoile les coulisses et l’émotion de sa première venue à Arras. Interviews exclusives (à venir) et photos Photos Jérôme Pouille / Vanessa Lhrx Interview Donc, tu jouais à Werchter, hier ? Comment ça s’est passé, là-bas ? C’était tellement grand ! J’étais un peu anxieuse. Bien sûr, j’ai commencé à faire des shows en première partie, et j’étais habituée à avoir des publics très nombreux. Mais je pense que, parce que c’était le festival, voir un tel public rempli de gens qui étaient tous si enthousiastes et engagés, c’était vraiment dingue. J’aime ça. J’aime la grande foule. Plus il y a de gens, mieux c’est? Mais oui, j’étais surmotivée. J’étais à l’aise, j’ai passé un bon moment. Tu as appris que tu as commencé par faire des shows dans des comédies musicales, et tu as voulu arrêter de faire ça pour composer ta propre musique et texte… J’ai fait beaucoup de performance en tant qu’enfant. Comme tu le dis, j’ai fait des comédies musicales, j’étais dans une chorale aussi, j’ai fait tout ça, mais j’ai aussi écrit de la poésie. Et je pense qu’écrire de la poésie, pour moi, c’était une alternative à garder dans ma vie. Et j’ai réalisé que j’écrivais tellement, essentiellement, de la poésie autobiographique sur ce qui se passait dans ma vie. C’était ma façon de gérer les choses. Alors, j’ai pensé pourquoi ne pas juste commencer à écrire mes propres chansons.J’étais obsédée avec un groupe d’artistes très féminines, j’étais obsédée avec Madonna, j’étais obsédée avec Kate Bush, et Lorde, et Lana Del Rey. Et j’avais l’impression que j’allais avoir beaucoup plus de joie de sortir mes propres sentiments, mes propres mots, que de chanter les chansons d’autres personnes. Et c’était la vérité. Et c’était tout ce que je voulais faire. J’ai vu que les thèmes qui étaient souvent abordés, c’était souvent l’amour. Pensez-vous que c’est plus inspirant d’écrire à propos d’un cœur brisé, ou juste le bonheur de l’amour ? C’est une très bonne question. Je pense que j’utilise mon imagination de façon libre, mais même si j’étais amoureuse, j’irais probablement toujours écrire sur le négatif. Et parfois, quand mon cœur est brisé, j’irais toujours écrire sur quelque chose de bon qui se passe.Donc c’est bizarre. Je pense que je trouve ça plus inspirant d’écrire à propos de ce que tu es, de l’amour, et les frustrations que ça entraine. Et j’ai l’impression qu’il y a beaucoup de complications dans l’idée d’être amoureux.Donc je pense que j’aime un sentiment plus nuancé, spécifique, que je pense que beaucoup de jeunes filles peuvent se rappeler. Et c’est pour ça que je suis chanceuse avec ceux qui m’écoutent, et je pense qu’on va tous traverser les mêmes choses à différents moments. Un des premiers titres qu’ on a entendu, c’était Oh My. Peux tu raconter l’histoire de ce titre, comment il a été composé, dans quelles conditions? C’est drôle, cette chanson a été intitulée pour être une chanson d’amour, et à l’époque j’étais en train de l’écrire comme une chanson d’amour pour quelqu’un et c’est vraiment merveilleux. Le morceau était beaucoup plus long, ce n’était pas la version finie que j’ai joué tout récemment et c’était tout à propos de, oh, je suis tellement amoureuse, j’étais en train d’embrasser quelqu’un et j’ai manqué le bus. C’était toute cette chose et puis dans ma vie réelle, la relation s’est éloignée et mon cerveau a changé par lui dans le sens où j’étais tellement obsédée par lui que j’étais en train de perdre des parties de moi-même et j’ai fondamentalement commencé à jouer cette chanson, la chanson d’amour, parce que j’avais l’impression qu’elle me changeait et la chanson s’est ensuite retrouvée comme une chanson d’amour où je suis en train de devenir semi-manipulée par cette personne et de changer des parties de moi-même d’une manière désespérée. Donc pour certaines personnes qui l’entendent pour la première fois, elles pensent que c’est une chanson d’amour mais en réalité c’est plutôt cela, c’est comment tu apprends à devenir conscient que cela n’est pas une mort pour moi et je pense que c’est plutôt cool de pouvoir le faire, tu vois ? C’est intéressant, j’aime ça. Et j’ai vu aussi que depuis le début, les EP ont commencé à sortir à partir de 2024 et il y en a 3 qui sont sortis vraiment à la suite en très peu de temps Tu as fait beaucoup de morceaux, beaucoup de singles, en très peu de temps. J’imagine que tu as pas mal de choses à dire… J’ai eu tellement d’inspiration pour écrire plein de chansons. C’est comme si tu avais la clé de toi-même. J’ai commencé à écrire de la poésie et des chansons quand j’avais 12 ou 13 ans. Donc il y a eu 7 ans que je jouais à la guitare et au piano à la maison sans
Last Train

Brut, électrique, authentique Depuis 15 ans, Last Train défend un rock électrique, viscéral et sans concession.Alors que les tendances évoluaient vers le rap et la pop urbaine, le quatuor a tenu bon, arpentant les scènes modestes avec une énergie rageuse et un sens aigu de l’absolu.Cette fidélité à leur son saturé et à leur éthique DIY a fini par porter ses fruits : 500 concerts, l’Olympia rempli, un documentaire marquant, un album enregistré avec un orchestre symphonique…Aujourd’hui respecté pour son intégrité et sa puissance scénique, Last Train revient au Main Square Festival avec une promesse simple : du rock. Du vrai. Retour électrique sur la Green Room Vendredi 4 juillet, de 21h50 à 22h50, Last Train a pris d’assaut la Green Room by Greenroom pour un live électrique et habité.Plus qu’un groupe, c’est un manifeste rock que ces quatre musiciens défendent depuis plus d’une décennie, avec une intensité rare et une vision claire : le live avant tout.Dans une époque saturée de filtres et de calculs, leur musique conserve la beauté du désordre, la tension du vrai.Leur passage au Main Square s’annonce comme une claque de sincérité électrique, entre fureur maîtrisée et élégance brute. Retour et photos Un concert rock au main square fait toujours plaisir! Depuis le temps qu’on nous dit qu’il faut voir last train en live, nous ne sommes pas déçus! Quelle énergie, quelle puissance et quel charisme sur scène ! La grosse claque! Et pour moi c’était une première de voir quelqu’un jouer de la guitare debout dans la foule tenu par les mains du public! Un concert et un groupe à retenir indubitablement Photos Vanessa LHXR Setlist Main Square: Home The Plan Way Out On Our Knees Disappointed This Is Me Trying Between Wounds / One Side Road The Big Picture
Mika

Pop flamboyante et universelle Star planétaire et profondément aimé en France, Mika incarne depuis deux décennies une pop colorée, théâtrale et libre.Né à Beyrouth, l’artiste libano-britannique grandit au carrefour des cultures et cela se ressent dans sa musique multilingue, ses mélodies solaires et ses performances vibrantes. Derrière les tubes aux refrains entêtants se cache aussi un artiste engagé, sincère, et profondément humain, qui n’a jamais cessé de prôner la tolérance, l’ouverture et l’émotion brute. En 2025, Mika revient à l’essentiel : la scène, le partage, la joie du live, avec une générosité intacte et une voix qui traverse les années sans rien perdre de sa magie.Son passage au Main Square Festival s’annonce comme une célébration pop, un feu d’artifice scénique et émotionnel. Mika illumine le Main Square C’est sur la Main Stage, le dimanche 6 juillet, de 21h15 à 22h15, que Mika a livré un concert aussi flamboyant que généreux.Artiste de scène par excellence, il vient rappeler combien la pop peut être joyeuse, émotive, inclusive et terriblement efficace.Entre hymnes dansés, envolées vocales et communion avec le public, son retour à Arras promet un moment suspendu, à la fois intime et spectaculaire. Une icône à redécouvrir sur scène en images et confidences exclusives avec la compagnie artistique. Retour et photos Avec Mika on sait qu’on va avoir droit à un show. Le public très nombreux ne sera pas déçu avec de très nombreux singles pendant le concert. Beaucoup d’amour, de joie, et de très bonnes ondes échangées avec l’artiste sur un concert haut en couleur! Photos Vanessa LHXR Setlist Main Square: We are Golden / Origin of Love Lollipop Ice Cream Relax (Take it Easy) Big Girl (You are Beautiful) Jane Birkin Elle me dit Grace Kelly Love Today
Peter Cat Recording Co.

Quand le rock voyage en douceur Originaire de Delhi, Peter Cat Recording Co. est un groupe aussi inclassable qu’essentiel. Fondé en 2009, ce quintet a pris le temps de construire son public dans son pays natal, en parcourant l’Inde avant de s’exporter à l’international. Entre classic rock, pop élégante et touches de funk, leur musique est une expérience sensorielle : onctueuse, planante, légèrement psychédélique. Avec cinq albums au compteur, ils imposent leur singularité dans un paysage musical souvent trop formaté. Peter Cat Recording Co., c’est l’exotisme sans cliché, la douceur sans mollesse, l’expérimentation sans excès. Une invitation à ralentir, à écouter, à flotter. Le son de Delhi résonne à Arras Dimanche 6 juillet, de 15h00 à 16h00, Peter Cat Recording Co. fera escale sur la Main Stage du Main Square Festival. Un moment rare, presque suspendu, pour découvrir une musique sans frontières. Curiosité d’abord, puis évidence : dès les premières notes, leur groove feutré et leurs arrangements habités enveloppent le public. Ce groupe indien impose une vision douce, alternative et profondément élégante du rock moderne. Entre éclats jazz, voix veloutée et instrumentation subtile, ce concert s’annonce comme une parenthèse voyageuse et hypnotique, à ne surtout pas manquer. Setlist et photos Photos Jerome Pouille Setlist Main Square: Flowers R Blooming People never Change Soulless Friends Heera Love Demons Fool Muse Floating by A beautiful Life Memory box
Marcel et son orchestre

L’insolence toujours debout Avec plus de 30 ans de carrière, Marcel et son Orchestre est une institution du rock festif français, entre ska, punk et humour politique. Originaires de Boulogne-sur-Mer, ils enchaînent les concerts costumés, les tubes impertinents et les refrains fédérateurs. Après une pause et un retour remarqué, ils reprennent la route avec toujours autant d’énergie. Leur show au Main Square Festival 2025 s’annonce comme une gigantesque fête populaire… et bien sûr engagée. 30 ans de fête et toujours debout Rendez-vous le dimanche 6 juillet, de 17h00 à 18h00, sur la Main Stage, pour une heure de folie collective avec Marcel et son Orchestre.Ska endiablé, énergie punk, cuivres en furie et humour piquant : la bande de Boulogne-sur-Mer prouve qu’on peut faire la fête tout en restant engagé.Leur passage promet d’être une claque sonore et visuelle, dans la plus pure tradition du “Marcel-style” : déjanté, solidaire et explosif. Une déferlante festive à revivre en textes, photos et rires avec la compagnie artistique ! Interviews exclusives et photos Photos Jérome Pouille & Vanessa LHXR Setlist Main Square: Avanaguilla Je veux m’amuser avec toi Petite culotte Stigmatise-moi ! Maudit karma La 7ème compagnie en Jamaïque Autocentré Quand on sait pas dire non Médiseuse Le mouton kabyle 62 méfie-te Dans ma boudinette Cerf-volant Comme un balai Interview Main Square Vous avez fait votre concert sur la scène du Main Square tout à l’heure, donc comment ça s’est passé pour vous ? Plutôt vachement bien. Franchement, c’est super. Tu sais, tu t’es réveillé. Ça fait bizarre, à 5h, c’est pas toujours facile, etc.Tu ne sais pas si tu allais être attendu. Et visiblement, il y avait bien bien du monde. Les gens se sont contactés. Je me suis demandé si les gens allaient venir déguisés… Oui ici il y a plein de trucs. C’est un festival, il y a beaucoup d’artistes.Quand tu arrives déguisé, je pense que ce n’est pas vraiment pour Micka. Non. Et à la fin des morceaux, je me suis dit que peut-être qu’il y a des gens qui vont nous cracher dessus.Mais, la scène était noire de monde. C’est pour ça qu’on a vendu une grande scène. On a vendu une grande scène, parce qu’on ne voulait pas, si jamais ça ne plaisait pas, qu’ils nous crachent dessus. Puis là, ils nous ont dit que la scène faisait 67 mètres. Alors que nous, on s’était entraîné pour que la scène fasse 62 mètres.Il n’y a rien. Mais 4 mètres de plus, ce n’est pas rien. Il faut les couvrir. Cette année, il y a eu un album qui est ressorti. Ça faisait longtemps quand même qu’on n’avait pas eu d’album de Marcel. Qu’est-ce qui vous a fait que là, d’un coup, il y a beaucoup de trucs à dire ? On a mis 12 ans à l’ enregistrer. On a attendu que Rachida Dati soit ministre de la Culture. Elle nous a dit, allez Marcel, vous allez bien me faire un album. Elle avait 300 000 euros pour nous. Elle nous a dit: J’ai des ronds. J’ai des ronds, je peux financer. Non mais bon, ça faisait longtemps.On n’avait rien sorti. Mais on ne s’est pas fréquenté pendant 5 ans. Il y avait des projets à côté. Oui, Bouli, ce n’était pas simple. On a eu des projets annexes les uns les autres. Je pense qu’on était séchés en 2012, réellement. On n’a plus de 20 ans.On a fait entre 80 et 120 dates par an. On était parti 200 jours par an sur les routes. On ne s’est pas aperçu que ça nous avait épuisé.On ne voyait pas bien comment mener le truc. Et on a connu des accidents. On a perdu des personnes très chères. On a fait entre 80 et 120 dates par an. On était parti 200 jours par an sur les routes. On ne s’est pas aperçu que ça nous avait épuisé.On ne voyait pas bien comment mener le truc. Et on a connu des accidents. On a perdu des personnes très chères.Difficile à gérer. Donc, il y a eu besoin de prendre du recul. Et puis après, en 2017, un ex-ami nous a réunis pour un concert qui partait plus de l’idée d’une réunion. On a joué ensemble. Il y a eu du plaisir à le faire. Après, il y a eu des copains qui ont commencé à nous dire qu’on serait quand même bien à nouveau ensemble.Il fallait que nous prenions du temps pour y réfléchir. Il fallait que la proposition soit intéressante. Et puis, il y a eu des gens au Grand Sud qui nous ont proposé quelque chose. On a eu des conditions pour travailler. C’était super. On a dû faire une date.Il y a eu tellement de bons moments qu’on en a fait trois finalement. Il y en a eu même quatre. Et puis après, on a repris des dates. On s’est pris un an et demi. Entre 2012 et aujourd’hui, il s’est passé 13 ans. 13 ans, je ne les ai pas vu passer. C’était le moment où il fallait le faire. On a trouvé tous les ressorts. On a eu des difficultés à réveiller tout ça, à chasser le costume Marcel. Quand on ne sait pas dire non à quelque chose, qu’est-ce qu’il y a ? Un truc que vous avez accepté et sur lequel vous n’avez pas pu dire non ? Il y en a plein, je me dis. Il y a plein de copains qui ne savent pas dire non. On est plutôt des bonnes pattes. Il ne faut pas grand-chose pour qu’on se sente un peu mal à l’aise, pour qu’on se culpabilise. Pour qu’on se dise, je suis emmerdé. et que finalement on dise oui! Avec tout ce qui est politique qu’il y a en ce moment, il y a aussi pas mal de choses et on est obligé de réagir.De laisser entendre que d’un seul coup, tous ces gens qui ont des blogs, des machins, des trucs dégueulasses, mais odieux, d’un
Wunderhorse

La relève anglaise Derrière Wunderhorse, il y a Jacob Slater, ancien leader d’un groupe punk et acteur dans la série sur les Sex Pistols, où il incarnait le batteur Paul Cook.D’abord projet solo, Wunderhorse devient un vrai groupe lorsque Slater rencontre son guitariste — fils de Kim Wilde — puis rassemble autour de lui une formation solide.Nourri de post-punk, de britpop, et d’un songwriting intense, le groupe propose un rock sensible et mordant, à la fois brut et mélodique. Acclamé par la critique pour ses deux albums, Wunderhorse est aujourd’hui l’un des noms les plus prometteurs de la scène indie rock britannique. Wunderhorse, intensité UK sur la Green Room Le vendredi 4 juillet, de 17h50 à 18h50, Wunderhorse foulera la Green Room by Greenroom pour une heure de rock tendu, affuté, traversé de fulgurances.Porté par la voix écorchée de Jacob Slater et l’intensité de ses musiciens, le groupe incarne ce que le rock indépendant britannique a de plus pur, entre vulnérabilité assumée et puissance explosive.Après deux albums salués par la critique, c’est désormais sur scène que le quatuor affirme sa maturité et sa singularité.Le public du Main Square peut s’attendre à un concert intense, entre introspection, énergie brute et élégance anglaise. Setlist et photos Photos Jerome Pouille Wunderhorse se retrouve sur la Green Room le vendredi et leur son sera un peu une bien jolie mise en bouche avant Last Train et Deftones très attendus ce premier jour de festival. Le public ne s’y trompera pas et sera très réactif au set du groupe. Setlist: Midas Butterflies Girls behind the Glass Cathedrals Leader of the Pack Arizona Purple The Rope Teal Silver July
