Saez

saez zenith lille

Concert Saez Zenith Lille le 14/03/25 Arrivé au Zénith juste avant le début du concert ( ah les bouchons lillois!), nous nous rendons compte que la salle est archi complète ! Saez est quand même un des rares artistes à pouvoir remplir des Zénith sans promo ni communication. Mais son public lui est très fidèle et se retrouve dans ses textes et ses prises de positions politiques. Après s’être renseigné sur les concerts de la tournée, on sait qu’il y aura plusieurs parties et la première partie est plus posée. Ce qui se vérifie quand le concert commence et où on voit arriver Saez s’asseoir sur un canapé confortable. Les musiciens sont tous derrière un rideau, et on espère le voir tomber au plus vite ! Une ambiance plutôt intime jusqu’à Jeunesse lève toi où le public montre bien sa présence… J’avoue ma très agréable surprise sur ce concert. Je m’attendais à un concert plutôt calme voire plombant mais c’est tout le contraire qui se passe ! Le public est très à l’écoute des superbes textes du compositeur et n’hésite pas à chanter avec lui ce qui donne des moments intenses ( Putains, vous m’aurez plus) qui donne une ambiance particulière sur ce concert jusqu’à la chute du rideau ( enfin!) à la fin de la première partie censée être la plus posée. Une petite pause et le groupe revient mettre le feu avec une partie plus rock cette fois et le ton est rapidement donné avec Mon Européenne. Une ambiance qui ne retombera plus jusqu’à la fin en passant par de nombreux titres comme l’attendu J’accuse et Rue d’la soif ( qui rappellera des souvenirs à beaucoup de Lillois pour une rue éponyme) Un concert de quasiment 4 heures qui a enthousiasmé un public conquis et agréablement surpris beaucoup d’autres. Une très belle surprise qui nous a donné l’envie de nous replonger dans la riche discographie de Damien Saez ! Un énorme merci à Jérôme pour les photos et à Scènes du Nord Setlist Zenith Lille 1- Venise 2- Mon influenceuse 3- Jeunesse lève toi 4- Fleur iranienne 5- A ton nom 6- Féministe 7- Putains, vous m’aurez plus 8- Lulu 9- Si l’amour était universel 10- Lindsay 11- Germaine 12- Oppression 13- On n’a pas la thune 14- Mon Européenne 15- Non merci patron 16- Barbie 17- Le Requin 18- Anticommunautaire 19- P’tite pute 20- Miami 21- La Belle au bois 22- Manu dans l’cul 23- J’accuse 24- Pilule 25- Rue d’la soif 26- Les enfants paradis 27- A nos amours 28- Frères d’armes 29- Pleure pas bébé 30- Tu y crois Tof Edit this setlist | More Saez setlists

Shaka Ponk – Bad porn movie trax

Pochette d'album de Shaka Ponk "Bad porn movie trax"

Shaka Ponk Bad porn movie trax – Un Cocktail Explosif de Sons Rare sont les albums qui font bouger la tête du début à la fin ! Et c’est le cas du nouvel album de Shaka Ponk « Bad porn movie trax », dispo dans les bacs depuis le 1er mars 2010, une nouvelle édition avec un titre bonus et un titre live, ce qui nous offre 16 titres forts, chacun représentant un tube potentiel ! Une Explosive Fusion de Genres Vous avez certainement entendu le titre « Do » sur les radios, ce titre n’est qu’une goutte d’eau dans ce que propose le groupe ! En effet, le premier titre de leur opus « Twisted minda » donne la couleur à l’album, une pure tuerie ! On retrouve des sonorités électro/rock/punk/métal qui donne à chacun des morceaux une sacrée dimension ! Les chœurs et les samples renforcent le tout ! Le groupe met la barre assez haute et en concert ça saute partout et ça claque ! Une bonne alliance des instruments qui structurent les morceaux et qui deviennent du coup, vite accrocheurs, avec des rythmiques entêtantes, bref on aime vraiment l’esprit qui se dégage de cet opus et de ce groupe ! Des Influences Majeures On retrouve bien entendu des influences comme les Daft Punk, AC/DC Chemical Brothers, Gorillaz ou encore du Enhancer, mais on oublie vite tout ça pour se plonger dans ce que propose les shaka ponk ! Rendez-vous au plus vite sur leur myspace pour vibrer sur du bon son, on en redemande encore et encore ! Valérie

Shaka ponk – The geeks and the jerkin’ socks

Un Cocktail Audacieux de Sons Le mélange des genres semble en vogue en ce moment et Shaka Ponk illustre très bien cette tendance. Un son indéfinissable mélange de rock, métal, funk (et encore!), produit de l’informatique, s’accompagne d’espagnol et/ou d’anglais. Une originalité délurée qui n’a rien de factice : il suffit de les voir en concert. De plus, il s’ajoute sur cette album une nouvelle touche (très!) féminine : la chanteuse Samaha. Une Fusion Explosive de Styles Les Shaka Ponk s’affiche donc dans un style un tantinet plus calme. Pourtant, ne croyez pas qu’ils n’assurent plus pour autant ! Il faut avouer que leur musique a la capacité de mettre l’ambiance immédiatement. (avec « Let’s Bang », pour prendre un simple exemple)Sans oublier que le caractère de Samaha en impose : omniprésente voix sensuelle , elle dresse ses hommes dans le 90’s « Brunette Localicious » et s’affirme en guerrière dans « Sex Ball » où l’on retrouve toujours le sens du rythme aiguisé du groupe. Groovy, dansant et rock, ainsi sont les Shaka Ponk. « I’m Picky » et « Shiza Radio » dérogent quelque peu à la règle de l’homogénéité avec leur côté métal vitaminé. Il existe tout de même quelques surprises dans cet album ! « Dancing Dead » où le synthé s’amuse et nous donne du disco ou encore « I’m a Lady ». Les chœurs criards aux accents punk ne sont pas sans évoquer les anciens albums du groupe. Une Énergie Communicative Pour finir, on croise Beat Assaillant dans « Old School Rocka » où il se fait malheureusement trop peu présent. « L’évènement », si on puisse dire ainsi, est bien sur Bertrand Cantat. Qui aurait pu chanter « Palabra mi Amor » avec tant d’amertume ? Personne, et il fait bien de le rappeler. En tout cas, l’énergie communicative de « The geeks and the jerkin’ socks » se veut rayonnante. Et lorsqu’on sait que « Shaka » est le nom du premier bouddha, il n’y a rien d’étonnant ! Stef

Skip the Use

Musicien qui joue de la batterie

Les Lillois de Skip The Use se sont bâtis une solide réputation scénique que je n’ai pu qu’apprécier au Main Square Festival 2012. Une explosion d’énergie sous le groove de la voix chaude et prophétique de Matt Bastard, voilà ce que j’en ai retenu. Mais pouvait-on retranscrire ce dynamisme rebelle sur un album ? Incontestablement, je ne peux que répondre oui. « Can Be Late », sorti en février 2012, sonne comme une folie urbaine à la fois sombre et jouissive. Le groupe se veut punk. Il l’est surtout dans l’esprit. Les influences se puissent dans de nombreux registres. On obtient un mélange très bien dosé, dansant à souhait et provocateur de toutes pulsions. Cette musique, que l’on ose malicieusement qualifier d’anticonformiste, a l’avantage de plaire à tous par ses genres multiples. « People in the Shadow », qui débute l’album, résume bien la position du groupe. (Entre autres une batterie puissante et un électro festif) Des guitares aux accents très métal côtoient la funk sans perturber pour autant notre sens de rythme. (« Give Me Your Life ») Que ce soit le sage « Ghost » ( qui donne envie de se dandiner sous les chœurs d’enfant de The Choral of St. John’s International School), l’hymne funky « Antislavery » ou le véritablement punk « PIL », on ne se retrouve toujours à chantonner les refrains de ces titres entêtants.Par ailleurs, on reconnaît dans cet album plutôt homogène des consonances avec Blur ou encore Justice (les chœurs de « Do It Again »). Skip The Use ne se tempère donc pas sur cet album tout simplement bouillonnant. Stéf

Skip the Use, Can be Late

Pochette d'album Skip the Use

Skip the Use : “Can Be Late” – Énergie et Fusion Musicale Encensé par les médias suite à des passages remarqués au Grand Journal et à Taratata et à leur nomination aux Victoires de la Musique, le groupe lillois Skip the Use a sorti le 6 février son nouvel album ‘Can be Late’. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cet album laisse présager le meilleur quand au potentiel scénique du groupe, tant il est un concentré d’énergie, de rythmes électro et de beats funky. Un Album Diversifié et Audacieux Les morceaux se suivent et ne se ressemblent pas, le groupe ose différentes approches, que ce soit sur le titre d’ouverture bien péchu ‘People in the shadow’, sur un ‘Do it Again’ nettement plus minimaliste ou encore sur ‘Darkness Paradise’ et ‘Bastard Song’, qui envoient vraiment du lourd.  Téméraire, le groupe va même jusqu’à intégrer des choeurs d’enfants, à l’instar du très réussi ‘Ghost’.  Un Travail Approfondi et Cohérent A l’écoute, on sent que cet album est très travaillé et abouti.  Mat Bastard au chant nous séduit une fois de plus par son énergie et sa justesse vocale, mais l’instrumental impressionne également tant il est complet et harmonieux. Une Fusion Rock-Électro Maîtrisée Souvent comparés à Bloc Party, les lillois n’ont rien à envier aux britanniques et associent brillamment le rock et l’électro, faisant de Can be Late un cocktail détonnant et festif, qu’on a d’autant plus envie de se prendre dans la tête en live.  Ca tombe bien, ils passent fin mars au Splendid à Lille…En concert le 29 mars au Splendid à Lille Math

Smashing Pumpkins

Groupe Smashing Pumpkins

Le dimanche 16 juin 2024 . Accord Aréna Paris. PREMIERE PARTIE Tom Morello est très bon, et c’est incroyable d’entendre le son des Rage en live. Et cette fin sur Killing in the name, quel pied ! Une première partie vraiment top. THE WORLD IS A VAMPIRE. Entrée en matière Les fans des Pumpkins ont certainement vieilli car ça bouge beaucoup moins qu’aux concerts précédents. Ils ont oublié que ce que l’on aime c’est leur son rugueux, leur énergie rock. On sent que des albums très calmes sont passés par là. Dommage car la set liste composée de 24 titres était quand même vraiment bien. Le public a préféré sortir leurs portables plutôt que de pogoter. Exit la fosse qui bouge dans tous les sens ! Et j’ai bien senti que les nouvelles chansons, plus lentes et mélodieuses ne plaisent pas à tous les fans qui les ont écoutées plutôt qu’appréciées alors que les anciens titres rock alternatif étaient un enchantement pour le public. En parlant de pogo, on a dû s’en contenter que sur Bullet, ou Zero. Une playlist variée La set liste a balayé tous les albums du groupe avec même 6 titres de l’album mythique «  Mellon collie and the infinite sadness » ! Un délice et un retour dans le temps qui fait du bien. Un moment magique et hors du temps lorsque Billy a utilisé sa guitare sèche pour le titre « disarm », le public a frissonné et chanté avec lui. Le son était bon, parfois un peu fort mais la voix de Billy Corgan était parfaitement audible. Billy, vêtu de sa mythique combinaison noire était souriant, et le groupe a même communiqué avec le public. James a d’ailleurs sorti une vanne sur l’organisation des jeux olympiques et le bordel politique en France. Petite surprise et mignonnerie de la soirée quand les deux enfants de Billy sont venus sur scène pour danser et envoyer des médiators dans le public. La nouvelle guitariste KIKI WONG recrutée par petites annonces en janvier 2024 , a totalement trouvé sa place dans la musique du groupe et elle a fait une prestation très remarquée et dynamique. Petite déception concernant la choriste qui semble en décalage avec l’esprit rock du groupe. Le batteur a été exceptionnel et apporte une énergie folle. Il a été ovationné longuement par le public. Le concert se termine On a bien senti l’équilibre entre tous les membres du groupe, une belle complicité et une réelle envie de « communier » avec le public. Billy est resté le dernier sur scène et a longuement remercié le public, il a fait chaviré le cœur de ses fans. PAS DE RAPPEL Il y a un côté chouette aux concerts sans rappel. Au moins il n’y a pas cette fausse attente et les presque deux heures de concert représentaient une belle prestation. Voilà, un moment magique, nostalgique et une bonne dose de guitares et de rock alternatif, en espérant qu’ils reviennent vite en France. Isa

The Libertines

The Libertines en concert

Un soir avec The Libertines! Il y a des soirées où l’on remonte des années en arrière ; et c’était le cas ce samedi 2 mars dans l’enceinte Lilloise de l’Aeronef, affichant complet pour le festival des Inrocks. C’est parti pour les concerts. Après un tour de chauffe tout d’abord par l’énergique groupe Français Ravage Club (qui revendique justement The Libertines comme source d’inspiration principale), puis un instant totalement délirant avec le groupe Anglais d’électro-rock-punk-et plus si affinités Fat Dog, arrivent à 22h comme prévu Carl Barât, Peter Doherty et leur équipe. Et quelle joie de retrouver leur collectif sur scène ! si le retour de Pete accompagné de Fréderic Lo avait déjà enchanté l’Aero fin 2022, il est toujours aussi agréable de retrouver l’ex-leader des Babyshambles en grande forme. Les guitares chauffent, les tubes enchainent. Peu de discussion avec le public par contre, mais c’est ça aussi le Rock Anglais. Nouvel album à venir Les nouveaux sons de l’album à venir ce 5 avril All Quiet on the Eastern Esplanade, comme « Run run run » ou encore « Shiver », sont aussi efficaces en live que sur les ondes ; mais on aurait aimé en découvrir plus lors de cette avant-première ! S’il y a moins de communion avec le public que lors de ce dernier concert Lillois de décembre 2022, on sent Pete Doherty jovial, qui cède son harmonica à la fosse après son solo, et l’ensemble du groupe heureux de faire le travail et de retrouver ses fans. Après un rappel insolite (au son de « Une souris verte », with English accent please), le groupe finit sur l’un de ses plus gros tubes, « Don’t look back into the sun », et s’éclipse après une heure 30 de show à la hauteur des retrouvailles. Il n’y a désormais plus qu’à attendre un petit mois pour découvrir le reste de leurs nouveaux sons ! J.C.

U2

Poster de U2 360

U2 360° : Un Spectacle Grandiose Le show est au rendez-vous en dépit de très faibles désagréments qu’on aurait voulu ignorer. L’essentiel est préservé, à savoir l’ambiance d’un concert de U2 exceptionnel. La bande à BONO nous régale d’une représentation inoubliable dans un Rose Bowl qui ne l’est pas moins. Une mise en scène originale basée sur la très bonne idée de la scène circulaire, un public énorme qui encercle totalement les musiciens pour un spectacle d’anthologie. Ce positionnement constitue le nec plus ultra grâce à l’obtention d’une source sonore centrale, un point unique pour tous les spectateurs pour une ambiance de premier ordre. De plus les images circulaires diffusées permettent une immersion totale aux spectateurs présents. Des Chansons Inoubliables Pour nous, derrière notre écran, le spectacle en impose, le gigantisme de l’œuvre picturale étonne. 
U2 donne un concert plein, des airs connus que l’on se reprend à fredonner une fois la TV coupé. Comment oublier “Beautiful Day” “Sunday bloody sunday” “With or without You” (entre autres) qui raisonne encore dans notre tête. Comment ne pas apprécier l’hommage rendu à une femme d’exception : AUNG SAN SUU KYI  prix nobel de la paix 1991. Quelques Points d’Amélioration Un léger regret, la qualité moyenne du transfert image. En dépit des 27 caméras HD, l’image malgré un matériel élaboré, ne mérite pas d’être appelée HD, impossible d’en tirer la perfection : grain, respect des couleurs, luminosité sont critiquables. Pour le son, préférez le HD MASTER. Evitez le dolby digital qui nuit aux timbres.Attention le sous titrage français n’est actif que sur les bonus sur lesquels je vous conseille un détour. 
En résumé, 360° at the Rose Bowl est à inclure dans votre dvd ou blu-ray thèque. Restera le regret d’un rendu pas tout à fait à la hauteur du fait de l’image. Tomatokk 2010

Vive la fête

couverture de cd de Vive La Fête, nuit blanche

Vive la Fête: L’Essence du Rock’n’Roll Électronique La première fois que j’ai entendu le nom du groupe, j’ai pensé à une nouvelle compilation à boire (et donc à écouter que sous l’effet de l’alcool !) de Patrick Sébastien. Heureusement, non ! Vive la fête vient de Belgique, c’est un homme( Danny Nommens), une femme ( Els Pynoo), un couple, qui vit cent pour cent la rock’n’roll attitude (comme Johnny, çà doit être la Belgique çà !) dans un univers « branchouille » et très jet set du côté de Gand et d’Anvers. Un Mélange Explosif d’Influences Lui, bassiste du groupe Deus, elle, mannequin et artiste, font un rock très électronique influencé par les eighties, très efficace, avec des paroles très simples, un peu comme si Bardot ou Lio chantaient sur une électro puissante et radicale. Un Duo Trash-Glam et Électrisant Il y a un peu de Gainsbourg et de Birkin, de Elli et Jacno dans ce duo très trash-glam et très lunettes noires pour nuits blanches. Nuit Blanche : L’Évolution Vers l’Électro Nuit Blanche, c’est déjà leur troisième album (après Attaque Surprise et République Populaire) avec de moins en moins de guitares et de plus en plus de machines à faire danser et pourtant le couple n’a jamais été aussi rock qu’à l’heure actuelle. Une Intensité Brutale: “Noir Désir” Mention spéciale pour le titre Noir Désir où les cris de Els sont d’une violence incroyable sur un rythme à faire danser même Mémé Noël ! (Notons que le titre n’a rien à voir avec l’affaire Cantat, l’album étant sorti en Belgique bien avant). Un Cocktail Musical Inclassable C’est quoi ? Du rock indépendant, de la new-wave, de l’électroclash, de la chanson française, de la techno, en tous cas, tout ce que je sais c’est que c’est bon et n’attendez pas qu’il sorte au milieu des diverses compiles pour vous le procurer.                        www.vivelafete.be Deny

Vive la Fête Aéronef Lille

Chanteuse de Vive la fête, en concert avec le groupe à l'Aéronef de Lille

Enfin le grand retour de VIVE LA FÊTE à l’Aéronef de Lille Tout le monde est là pour fêter les 25 ans du groupe d’ electroclash/ synthpop mythique. Et le moins que l’on puisse dire est que VIVE LA FÊTE à l’Aéronef nous a régalé ce soir avec un show puissant, dynamique et haut en couleurs.  Les fameux Gantois emmenés par le noyau indestructible composé par Danny Mommens et Els Pynoo, nous font chavirer dès leur entrée sur scène. Les tubes s’enchaînent.  à “quatsh” en passant par ” Exactement”, ” Touche pas” ou encore “Vérité” ou “Jaloux”. Le public est sous le charme évidemment Tellement de souvenirs derrière ce groupe! Et quel plaisir de retrouver le groupe. Els, toujours au top de sa forme et Danny nous entraînent dans leur monde électro et hypnotique. C’est peu dire que les membres de la Compagnie Artistique ont bien chantés et dansés avec la foule !!Nous attendons alors avec impatience les gros bonus qui nous rappellent tant de merveilleux souvenirs et voilà que s’enchaînent “Maquillage”, “Noir désir” pour finir sur une foule en délire avec “POP CORN” !! Le final des ce concerts de Vive la Fête sont toujours très attendu et celui de Lille n’a pas manqué de nous combler! Tout le public repart heureux. Vive la fête est dans nos cœurs depuis longtemps et ils nous avaient clairement manqués. Vanessa Lhrx